Version choisie : A
Versions :
Version A
Martha Argerich
Nikolaus Harnoncourt & Chamber Orchestra of Europe
Teldec - 1994
Version B
Jan Lisiecki
Antonio Pappano & Orchestra dell'Accademia Nazionale di Santa Cecilia
DG - 2016
Version C
Rudolf Serkin
Eugene Ormandy & Philadelphia Orchestra
BNF - 1959
Version D
Dinu Lipatti
Herbert von Karajan & Philharmonia Orchestra
EMI - 1948
Version E
Hélène Grimaud
David Zinman & Deutsches Symphonie-Orchester Berlin
Erato - 1995
Avec :
Martine Dumont-Mergeay, La Libre Belgique
Eliane Reyes, pianiste
David Kadouch, pianiste
2 commentaires:
Ravi de vous retrouver chaque semaine en podcast ! Les fragments du dimanche, souvent en voiture, deviennent une plus belle et plus complète expérience d’écoute pendant la semaine !
J’ai beaucoup aimé votre dernière table d’écoute sur Schumann. Je ne suis pas francophone, mais je sais bien suivre vos conversations (à la longue, ça devient aussi une école de langue, pas seulement une école d’écoute musicale – trouver les couleurs, les nuances, les bonnes expressions, les sentiments). J’avais l’impression d’être à table avec vous, et avec mme Martha et M. Nicolas, dans un beau salon parisien ou bruxellois, in un ambiente allegro ed affettuoso davvero ! Quel honneur de pouvoir vous joindre et suivre votre discussion en directe, si belle et si riche, sur une musique que j’adore.
Je me suis rendu compte, que les premiers enregistrements qu’on achète ou reçoit (souvent comme enfant), marquent tellement l’écoute. Moi j’avais la chance de commencer mes découvertes de Schumann avec Clara Haskil…
Parmi les choses qui m’ont particulièrement touché aujourd’hui : réfléchir sur l’importance du « live », sur la qualité du dialogue, la liberté d’une Fantaisie, la complexité de cette œuvre et les nombreux choix possibles, les termes que Schumann lui-même a employé (il avait aussi le don de la langue) et l’exubérance du jeune compositeur (il n’avait que 31 ans !) dans ce concerto. Et le travail intéressant des chefs d’orchestre… Merci beaucoup pour ce partage, entre savants et musiciens, si généreux et si chaleureux !
Charles van Leeuwen
Dommage qu'il n'y avait pas ma version préférée, celle de Friedrich Gulda (avec Volkmar Andreae et la Philharmonique de Vienne, 1956). Je la considère de loin la meilleure version de ce concert. C'est en même temps pour moi la meilleure performance de Gulda.
Son influence sur la version de Martha Argerich (la version choisie par les participants) est évidente. Pour moi, Argerich doit beaucoup à lui, pas uniquement pour avoir été son élève mais ici, plus spécifiquement, pour avoir reçu les clés de comment aborder cet oeuvre.
J'aurais beaucoup aimé entendre les commentaires des participants sur la version Gulda...
Pour moi le concert de Schumann sans cette version équivaut à un Ecce Beatam Lucem de Striggio sans Paul Van Nevel :-) (Comparaison choisie avec l'intention de rester dans le contexte des oeuvres apparues dans cette émission...)
Bravo en tout cas pour cette adorable émission, que j'écoute très souvent avec beaucoup de plaisir !
PS: je viens de la trouver sur youtube https://youtu.be/EquQHFmnZOE
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