29 novembre 2020 - Johann Sebastian Bach : Variations Golberg BWV988 (pour piano), volume II

Lien vers l'émission volume I du 25 octobre 2015


Version choisie : C

Extraits :

I. Aria
II. Variations IV, V, VI
III. Variations XVIII-XIX-XX
IV. Variations XXIX et XXX

Versions :

Version A
Igor Levit
Sony - 2016

Version B
Lang Lang
DG - 2020

Version C
Pavel Kolesnikov
Hyperion - 2020

Version D
Daniel-ben Pienaar
AVie records - 2011

Version E
Beatrice Rana
Warner - 2017

Avec :

Martine Dumont-Mergeay, La Libre Belgique
Laurianne Corneille, pianiste
Gaëtan Naulleau, musicologue

6 commentaires:

PabloElFlamenco a dit…

Magnifique interprétation "E" ce qui ne réduit pas les qualités de "C". Etonnant, l'évolution dans le temps des interprétations...j'en suis encore, dans mon répertoire "classique" à celles de Glenn Gould! Merci pour l'émission!

zuheyr a dit…

Bonjour! Merveilleux. Quand on aura le podcast!?
Merci pour tout!

Alda Greoli a dit…

Les versions C et E sont vraiment très belles.
Un podcast de cette émission serait un beau cadeau de St Nicolas 😉.

P. Cembalum a dit…

Passionnante, cette T.E. a fait l'événement avec deux merveilleux interprètes ayant sans doute mérités l'ex aequo (naguère possible, en pareille issue 💑).
Eût-il fallu quand même choisir, j'ose pencher pour la E, alchimie de tendresse, de respect, d'audace et de sincérité de la jeune artiste révélée au Studio 4 - mis en extase un premier juillet 2017 !
Interrogée alors, elle avouait timidement "je suis JS Bach en interprétant le BWV 988" ...

P.P. a dit…

Auditeur depuis toujours de la Table d'écoute, je n'ai guère le souvenir d'une émission aussi passionnante que celle-ci. Les Goldberg - cet Himalaya - n'y sont évidemment pas pour rien. Mais aussi, cette décoiffante confrontation entre les deux versions finales, l'une éblouissante (Rana), l'autre si intrigante (Kolesnikov). Grand merci aux invités et à l'équipe de Musiq3 pour ce bonheur mélomane !

P. Cembalum a dit…

En souhaitant "une excellente Santé et un grand Bonheur" à tous les experts de la Table, assorti d'un immense "Cum Magna Laude" pour la maîtrise de Camille D.R., oserait-on leur proposer en 2021 une analyse des Goldberg interprétées au clavecin ?

Sachant bien que d'autres experts s'y étaient déjà exercés naguère et alors, hors du Royaume.
Oubliant cependant la merveilleuse Wanda Landowska.
Prions pour que son témoignage persiste dans la généreuse musicothèque de Musiq3 ...